Portrait collaborateur | Rémi Berger

25/05/2023

A bientôt 40 ans, Rémi Berger, Directeur Innovation chez GCK,  nous en dévoile un peu plus sur son parcours et ses responsabilités au sein du groupe GCK. Arrivé le 1er mars 2022 en tant que Responsable Innovation, découvrez aujourd’hui son portrait collaborateur.

 

Pourquoi avoir rejoint le groupe GCK ? 

J’ai principalement rejoint le groupe pour le projet et les orientations « techniques et technologiques ». J’avais à l’époque échangé avec Eric Boudot lors d’un évènement. Il m’a fait part du projet du groupe, de sa croissance et de son ambition. C’est de là que Eric m’a présenté une opportunité de rejoindre les équipes, ce que j’ai très rapidement accepté.

Quelles sont tes formations ? 

Je suis Ingénieur diplômé de l’ENSMA à Poitiers (École nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique), que j’ai complété avec un master spécialisé en mécanique des fluides à l’institut Von Karman Bruxelles. Puis j’ai fait un doctorat à l’université libre de Bruxelles dans le même laboratoire, où j’ai effectué une thèse CIFRE pour PSA.

Quelles ont été tes expériences professionnelles avant de rejoindre GCK ?

À la suite de cette thèse, jai été embauché en tant quingénieur de recherche chez PSA, dans une entité qui soccupe d’aérothermique et daérodynamique. Ma spécialité bas était laérothermique et linteraction entre lair et leau. Cest justement dans ce cadre que jai commencé à travailler sur les piles à combustible afin de traiter les problèmes de bouchon d’eau dans les plaques bipolaires. Toujours chez PSA je suis devenu Responsable de groupe de recherche aérothermique diphasique.

A cette époque, j’ai souhaité quitter la région parisienne. PSA avait mis en place des structures externalisées de recherche avec une vingtaine d’universités dans le monde qu’ils appelaient des OPENLabs et dans lesquels ils détachaient un ingénieur pour y piloter la structure. Pour ma part, j’ai eu l’opportunité de rejoindre celle de Lyon qui s’appelait VAT Lyon sur les thèmes de la vibro-acoustique et de la tribologie. Mon objectif dans cette structure était de monter et animer, avec l’appui des experts du groupe, des collaborations de recherche long terme entre PSA et les laboratoires de recherche de la région Auvergne Rhône-Alpes.

J’ai par la suite rejoint un pôle de compétitivité en tant que Directeur d’innovation. Ce pôle s’appelait à l’époque LUTB (Lyon Urban Truck and Bus) qui s’appelle désormais CARA. Mon objectif était de favoriser la veille technologique, l’émergence de projets, l’émulation entre les acteurs pour créer des projets collaboratifs et de l’innovation collaborative. Dans ce cadre-là, j’étais également délégué régional adjoint Auvergne Rhône-Alpes de France Hydrogène pour la mobilité.

Quelles sont tes responsabilités au sein du groupe ? 

J’ai 4 missions principales. La première est la représentativité du groupe auprès des centres d’excellence, des laboratoires, des syndicats professionnels, des pôles de compétitivité, tout ce qui va être réseaux d’expertise, dans lesquels le groupe doit être présent et faire entendre sa voix et sa position. Il s’agit également d’aller chercher de l’information technique, ou sur les évolutions du marché pour alimenter les entités du groupe. Mon rôle est de créer et dynamiser les liens entre le groupe et l’externe.

La deuxième va être tout ce qui s’apparente à une activité de veille technologique, marché, financement de l’innovation… etc. C’est une activité qui alimente en partie les communications du groupe sur les réseaux sociaux. Il y a en face de cela également l’animation d’un groupe d’experts internes à mettre en place pour valoriser cette action de veille.

La troisième est sur l’innovation et le partenariat technologique. L’objectif est d’identifier et participer à la sélection des partenaires technologiques du groupe. C’est également de sélectionner et utiliser des outils de financement pour les innovations du groupe et piloter le processus de dépôt de projets à ces outils ainsi que leur contractualisation avec le support de notre conseil juridique et du pôle administratif et financier.

Le quatrième axe qui m’a été confié est la structuration du projet de technopole de Charade.

 

 

À quoi ressemblent tes journées chez GCK ?

Malgré une volonté de toujours organiser mes semaines de la même façon pour garder un rythme, aucune ne se ressemble. Il y a des semaines où j’ai besoin à 100% d’être au calme pour me concentrer sur un sujet, d’autres où je vais être en déplacement tous les jours. Cette vision de mes semaines varie énormément en fonction des missions. C’est ce que j’aime, il n’y a absolument pas de routine.

Généralement, je m’efforce de garder une journée pour travailler au calme en distanciel, notamment sur la partie veille et pour avancer sur des sujets où j’ai besoin de me concentrer.

Je passe deux à trois jours par semaine sur les sites de Lempdes, Charade ou Venelles principalement et moins régulièrement sur les sites du Bourget du Lac et d’Issoire. L’objectif est de pouvoir échanger directement avec les équipes sur les sujets sur lesquels je suis impliqué.

Pour compléter ma semaine, j’ai les actions de représentation externe. Aller dans d’autres entreprises, dans les réseaux, les évènements…etc.

 

Quel est le projet sur lequel tu es actuellement ? 

Mon plus gros sujet est sans conteste le technopôle de Charade. L’objectif est de créer un centre de recherche, développement et de formation sur les mobilités décarbonées en pointe au niveau français voir européen, en lien avec l’ensemble des institutions locales Clermontoises et de nos partenaires technologiques.

 

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